La transgression selon David Cronenberg
RECENSION.
[ Cinéma ]
texte
Élie Castiel
★★★★
Avec Patricia Rozema, Atom Egoyan, Bruce LaBruce et autres John Greyson, pour ne nommer que ceux-là, David Cronenberg fait partie des grands du cinéma canadien (pour les raisons que vous connaissez, le Québec n’est pas inclus), chacun ayant forgé un cinéma propre à son idiosyncrasie, posé un regard sur le monde et plus que tout sur les images en mouvement.
La toile d’araignée
Dans le cas de David Cronenberg, maître de l’horreur/épouvante/anticipation et études freudiennes des personnages qu’il montre comme prêts à toutes éventualités, quelque chose d’encore plus exigeant : une auto-analyse de sa condition d’Homme, de Cinéaste et surtout d’Esthète libertin de la corporalité qui se permet tous les caprices et excentricités, mais habilement justifiés.Suite