No Sympathy for the Devil

 

| H O R I Z O N S
i n t e m p o r e l s |

CRITIQUE
Élie Castiel

★★★★

Orphée

et

Eurydice

Cinéaste d’un certain âge d’or du cinéma grec moderne – entamé avec enthousiasme et brio au tout début des années 1970 par un certain Theo Angelopoulos, à sa propre façon, façonnant les contours d’une nouvelle théorie des images en mouvement –  Dimitri Athanitis, comme certains de ses contemporains, perpétue la tradition et il n’est pas question de reculer. De nouvelles générations s’imposent. Aujourd’hui, 60 ans, et très actif dans sa démarche, il (s’auto)acquiesce le droit de poursuivre son idéologie artistique quels que soient les obstacles, s’ils existent, comme pur acte de revendication.Suite

Un accent « riche » et « unique »
qu’il faut pourtant taire en doublage

|TRIBUNE
  L i b r e |

texte
Sylvio Le Blanc

 

Un professeur de l’Université Concordia à Montréal, Gad Saad, a affirmé que « le français québécois est un affront à la dignité humaine »[1]. Cela a fait réagir le ministre québécois de la Langue française, Jean-François Roberge : « Notre accent fait partie de nos racines, de notre culture et de notre histoire. L’accent québécois est riche, unique et nous identifie dans le monde entier en tant que Québécois. Soyons-en fiers! »[2]Suite

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