No Sympathy for the Devil
| H O R I Z O N S
i n t e m p o r e l s |
CRITIQUE
Élie Castiel
★★★★
Orphée
et
Eurydice
Cinéaste d’un certain âge d’or du cinéma grec moderne – entamé avec enthousiasme et brio au tout début des années 1970 par un certain Theo Angelopoulos, à sa propre façon, façonnant les contours d’une nouvelle théorie des images en mouvement – Dimitri Athanitis, comme certains de ses contemporains, perpétue la tradition et il n’est pas question de reculer. De nouvelles générations s’imposent. Aujourd’hui, 60 ans, et très actif dans sa démarche, il (s’auto)acquiesce le droit de poursuivre son idéologie artistique quels que soient les obstacles, s’ils existent, comme pur acte de revendication.Suite