The Last Vermeer

PRIMEUR
Sortie
Mardi 23 février 2021

SUCCINCTEMENT
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, un peintre néerlandais est accusé de collaboration avec l’occupant nazi.

CRITIQUE.

★★★

texte
Luc Chaput

Apparences

                  trompeuses

Attaché à un poteau, un homme, condamné par un tribunal d’exception pour collaboration avec l’ennemi, est fusillé dans une place devant public.

C’est dans ce contexte risqué que se déroule l’histoire de ce tableau de Vermeer vendu pendant la guerre à Göring par un peintre secondaire hollandais. Un résistant Joseph Piller, devenu officier de la 1ère Armée canadienne qui aide le gouvernement légitime à reprendre tous les leviers de l’administration, tente de dénouer l’écheveau des compromissions qui ont mené à la vente du dit tableau et dont le fruit aurait pu servir à des fins occultes.Suite

Supernova

P R I M E U R
Numérique
Sortie
Mardi 16 février 2021

SUCCINCTEMENT
Tusker et Sam forment un couple depuis 20 ans. Les deux hommes décident de rendre visite à leurs amis, à leur famille à travers un voyage dans l’Angleterre rurale. Mais leur amour va être mis à l’épreuve comme jamais auparavant.

CRITIQUE.
[ Sphères LGBT ]

texte
Élie Castiel

★★★ ½

Le temps

        qu’il reste

Avec des noms aussi prestigieux que Colin Firth et Stanley Tucci, on aurait voulu aimer davantage ce récit amoureux d’un couple homosexuel, en ménage depuis vingt ans. La maladie de l’un d’eux provoque le drame, constituant pour ainsi dire la trame principal du film.

Simple idée de scénario pour un film mis en scène avec un dépouillement exemplaire, sans véritablement de fausses notes, mettant l’accent sur une relation qui ne cesse d’exister malgré le grand obstacle qu’elle vit. Essayer autant pour Sam (Firth) que pourTusker (Tucci) d’accepter le scénario final d’une ces deux vies; retenir les bons moments, les exemples de bonheur éphémère et ne se rappeler que du merveilleux.Suite

Some Kind of Heaven

PRIMEUR
[ En ligne ]

Sortie
Vendredi 19 février 2021

SUCCINCTEMENT
Visite d’un immense complexe de villages pour personnes âgées en Floride.

CRITIQUE.

texte
Luc Chaput

★★★

Barbara, veuve, travaille comme secrétaire dans une des petites entreprises d’une des communautés de The Villages, tout près d’Orlando. Ce complexe immobilier comprend maintenant plus de 120 000 résidents permanents dans trois comtés de ce centre de la Floride.

Des craquelures

dans le vernis édénique

Commencé brinquebalement par le promoteur Harold Schwartz, le projet trouva son air d’aller lorsque l’on décida d’employer un style pour les artères commerciales qui ressemblaient aux sites de Disney devenus iconiques entre autres par les émissions télé. Cette connexion avec un passé idéalisé visible où tout se trouve à quelques minutes de marche ou plutôt de balade en voiturette de golf attira de plus en plus de clients. Devenus résidents, ils participent selon leur bon vouloir à de nombreux clubs sociaux que nous dévoile par un montage guilleret le jeune réalisateur Lance Oppenheim.Suite

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