RÉSUMÉ SUCCINCT Un long-métrage Lego retraçant la carrière de Pharrell Williams, rappeur américain.
S A N S COMMENTAIRES
FICHE TECHNIQUE PARTIELLE Réalisation Morgan Neville
Genre(s) Animation biographique Origine(s) États-Unis / Danemark Année : 2024 – Durée : 1 h 33 min Langue(s) V.o. : anglais & Version française Pièce par pièce
RÉSUMÉ SUCCINCT Les coulisses de la soirée d’ouverture de l’émission Saturday Night Live en 1975.
CRITIQUE
Élie Castiel
★★★
Réussir, quitte à
se casser la gueule
Des noms qui ont percé dans le cinéma grand public, particulièrement dans la comédie ; des succès, des ratages, mais assurés d’un certain box-office. Ils ont pour nom John Belushi, Chevy Chase, en encore Dan Aykroyd et un peu moins Gilda Radner, plutôt cantonnée dans diverses disciplines de la comédie bouffonne et autres connexes.
De la génération des baby-boomers, des années 1970, qui ont vécu, chacun à sa façon, le Vietnam, les changements politiques, la culture de droite et celle des contestations. Et qu’il fallait changer les choses par le biais de la parodie et des révolutions sociales, sans toutefois faire échouer le mythique « rêve américain » (American Dream)
Jason Reitman, du toujours percutant Juno, opte pour la nostalgie qui s’interroge et ne sort pas uniquement des tripes. Ça se voit dans la réalisation, menée à une vitesse de parcours illimitée, se concentrant sur la première émission hebdomadaire Saturday Night Live (SNL par la suite), toujours en ondes sur NBC, comme s’il fallait passer d’une génération à l’autre sans se poser des questions.
Et il parle de la NBC, la chaîne emblématique, des anciens patrons (ici, campé par l’infatigable et incontournable Willem Dafoe, toujours surprenant). Magnifique dans son cynisme autoritaire et saint parmi les saints lorsqu’il donne le signal de départ pour que cette Première émission soit présentée Live.
Rien ne nous arrêtera.
Une réalisation qui se concentre sur les préparatifs de cette proposition venue de nulle part comme s’il s’agissait d’un accouchement dans la douleur. Mais impossible de ne pas y croire.
La deuxième partie, la plus intéressante, reprend le flambeau plus proche de la fiction menée à un rythme plus serein, entrecoupée de parallèles préparatifs à un cadence inouïe. Comme si deux approches se confrontaient.
Et finalement, un film qui ressemble à un patchwork stimulant teinté d’une profonde affection pour les participants et plus que tout, pour le sujet abordé.
Bons jeux d’acteurs, misant d’un personnage à l’autre, mais surtout montrant la particularité du système capitaliste américain. Et lorsqu’il s’agit de New York, le combat pour la réussite est d’autant plus excitant et compétitif. Adrénaline, questionnements, course effrénée pour la réussite, quelques très brefs moments intimes aussi, mais évacués à un quart de secondes.
Et finalement, un film qui ressemble à un patchwork stimulant teinté d’une profonde affection pour les participants et plus que tout, pour le sujet abordé.
FICHE TECHNIQUE PARTIELLE Réalisation Jason Reitman
Scénario : Gil Kenan, Jason Reitman Direction photo : Eric Steelberg Montage : Nathan Orlof, Shane Reid Musique : Jon Batiste
Genre(s) Comédie dramatique Origine(s) États-Unis Année : 2024 – Durée : 1 h 49 min Langue(s) V.o. : anglais & Version française Samedi soir
Jason Reitman
Dist. [ Contact ] @ Columbia Pictures [ Sony Pictures Releasing ]
RÉSUMÉ SUCCINCT L’histoire de Christopher Reeve est celle d’une ascension spectaculaire : d’acteur inconnu à véritable icône du cinéma. Jusqu’à l’accident qui lui a coûté la vie.
S A N S COMMENTAIRES
FICHE TECHNIQUE PARTIELLE Réalisation Ian Bonhôte Peter Ettedgui
Genre(s) Documentaire biographique Origine(s) États-Unis Année : 2024 – Durée : 1 h 44 min Langue(s) V.o. : anglais Super/Man: The Christopher Reeve Story