La nef
@ Usine C
CRITIQUE.
[ Scène ]
★★★★
texte
Élie Castiel
Un
étrange
rapport
à
l’indicible
C’est cet étonnant lien à l’inépuisable indescriptible que Cédric Delorme-Bouchard voulait questionner, le concrétiser sur scène malgré la minceur des possibilités. Le dénouement est tout en démesure par sa beauté aussi plastique que lumineuse par sa simplicité.
Deux côtés accordés aux spectateurs, l’un à gauche, l’autre à droite. La scène circulaire au beau milieu, là où rien ne peut échapper à leur regard. Quatre pianos, deux de chaque côté, aux extrémités. Les exécutants de chacun des instruments débutent le spectacle.

Aboutir à une sorte de rituel organique.
Crédit : Charline Clavier