Peggy Baker Dance Projects

CRITIQUE DANSE

| Élie Castiel – ★★★ |
who we are in the dark
L’ENFER EST PAVÉ DE BONNES INTENTIONS

De quel enfer s’agit-il? Si l’on en juge par la présentation de Peggy Baker avant le spectacle, c’est l’obscurantisme de notre société, l’obscurité du monde, des notions philosophiques que nous pouvons changer, dépendamment de notre bon vouloir. Beau message d’espoir qui se traduit par une chorégraphie, who we are in the dark, qui valide son originalité grâce à la « mise en éclairages » de Marc Parent, puissante, fascinante, dépassant les limites de cette discipline technique, s’immisçant aux corps et à l’espace tel une météorite venue des cieux pour tenter d’éclairer le monde.

Peggy Baker Dance Projects

David Nosworthy et Kate Holden. Crédit photo: ©Jeremy Mimnagh

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Akram Khan Company

‘Xenos’

ou

Prométhée

réinventé

CRITIQUE
[ Danse ]

★★★★ ½

texe
Élie Castiel

Retour du grand Akram Khan après son remarquable Until the Lions, à Danse Danse en 2017. Et avec XENOS (du grec, étranger), raison de plus d’y assister puisque c’est la dernière prestation solo du chorégraphe-danseur. Salle complète pour la Première hier soir devant un public ébahi non seulement par la performance de l’artiste, mais également par le message qu’il implique, rendu encore plus pertinent grâce à un décor majestueux.

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Art

CRITIQUE – SCÈNE

| Élie Castiel – ★★★½ |
COUPS DE PINCEAU

TROIS GRANDS ESSENTIELS DE LA SCÈNE QUÉBÉCOISE, suivant l’ordre alphabétique, pour que l’un ne supplante pas l’autre : Benoît Brière, le comédien aux mille masques, Martin Drainville, de plus en plus au théâtre et toujours si efficace, et Luc Guérin, celui qui peut transformer le comique en tragique simplement en un tour de main inattendu.

Art

Luc Guérin, Benoît Brière et Martin Drainville. Crédit photo: ©François Laplante Delagrave

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