Hervé Koubi – Ce que le jour doit à la nuit

CRITIQUE.
danse ]

texte
Élie Castiel

★★★★

Il s’agit de la captation du spectacle Ce que le jour doit à la nuit lors d’une représentation au Festival Arabesques de 2018, Domaine d’O, à Montpellier. Hervé Koubi, c’est la prise de conscience un peu tardive, mais non pour le moins récupérable, de ses origines maghrébines, précisément algériennes, qui vient de sa mère, comme il l’explique dans un témoignage, faisant partie de ce spectacle en ligne.Suite

Ingrid Vallus – Le reste des vagues

CRITIQUE.
| danse |

texte
 Élie Castiel

★★★★

Dans le texte de présentation, une proposition sur le « temps qui passe », sur ces moments inquiétants, se retournements, l’amour aussi. Sur les changements, si rapides en ces temps d’incertitude, de doutes. Et une mise en contexte du geste chorégraphique. Propos abstraits qui, pour le commun des mortels, exigent une concentration totale, une complicité avec la danseuse, mais tacite, muette, car elle aussi du terrain du flottement. Nous finissons par laisser parler nos instincts à la vue de ce court spectacle d’une énergie foudroyante.

L’espace dramatique est simple, vierge, nu. Le mouvement se fait de gauche à droite. Au départ, la danseuse est debout entre deux amoncellements en forme de petite montagne de ce qui semble être du sable, qu’importe, une matière poudreuse.

La dialectique du mouvement perpétuelSuite

As One

CRITIQUE.
[ ART LYRIQUE ]

un texte de
     Élie Castiel

★★★ ½

Oublions la pandémie et parlons des arts de la représentation, la « culture », comme si de rien n’était, une façon comme une autre de ne pas nous éloigner de cette part de notre existence qui purifie notre être et notre esprit.

Comme dans

                                un miroir sans tainSuite

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