Le meilleur des mondes

< Critique par ÉLIE CASTIEL >

★★★★
Et si c’était une nouvelle dystopie des possibles

Titre on ne peut plus paradoxal, mais qui convient au Meilleur des mondes dans sa récente version TDP. Inadaptable, Brave New World, le roman d’Aldous Huxley? Dans sa forme littéraire, critique, intellectuelle, impossible car ce sont des idées sur le monde, la vie, la science, l’évolution et autres formes de dictatures qui s’imposent à l’être et qui sont racontées dans une forme analytique et dans le même temps prenante.

Le meilleur des mondes

Kathleen Fortin et Benoît Drouin-Germain (©Gunther Gumper)

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Un poyo rojo

SCÈNE – Élie Castiel

| ★★★ |
Le sport favori de l’homme

Sur la scène de la grande salle du Centaur, un décor minimaliste, quelques accessoires, un vieille radio portative des années 1980 ou 1990 et comme lieu, le vestiaire (mieux dit : locker room) d’un établissement sportif. Deux hommes, et personne d’autre.

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The Pianist of Willesden Lane

CRITIQUE par Élie Castiel

| ★★★★ |
Pièces achevées pour pianos classiques

Le livre de Mona Golabek et Lee Cohen est avant tout un récit sur la filiation, sur la relation mère-fille, sur le rapport à l’art et plus que tout, sur la préservation de l’âme artistique. Mona Golabek est seule sur la scène du Centre Segal. En guise d’accompagnement, un décor où se manifestent les différents moments clés d’une aventure humaine marqué par la haine de l’autre (ici, le temps de l’Holocauste).

The Pianist of Willesden Lane

©Hershey Felder Presents

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