La fiancée

| Bande
dessinée
|

RECENSION
Élie Castiel

★★★★

Écho

des

origines

 

Il n’est pas fréquent dans l’édition québécoise francophone que la judaïcité se prononce avec tant d’acuité. À la lecture de La fiancée, une constatation : cette urgence de parler de sa genèse par le biais d’une œuvre majeure de la littérature yiddish, Le dibbouk, de S. Ansky, maintes fois reproduite en forme théâtrale et au cinéma.Suite

Une Madographie

| Biographie |

RECENSION
Élie Castiel

★★★ ½

À tout prendre

sans rien laisser

 

Qui de mieux que soi-même pour parler de soi! Personne à blâmer si des vérités ou des mensonges non fondés s’y glissent dans la plume de quelqu’un d’autre. Et dans le cas de Luc Provost, il connaît bien celle par qui tout arrive. Rêves de jeunesse, prédilection prématurée pour le glamour, pas d’intérêt pour les activités sportives, mais sans aucun doute envers les sportifs, un amour profond pour la mère, source de toutes les attentions; et du père, timide, homme de cœur, qui pleure lorsqu’il est heureux, sans se soucier des  qu’en-dira-t-on. Une jeunesse dorée, ça n’arrive pas à tout le monde.Suite

André Cayatte : 
Cinéaste engagé

| Cinéma |

RECENSION
Élie Castiel

★★★ ½

Règlements

de

comptes

à

l’amiable

Le parti pris de Pascal Noblet est évident. Et j’adhère tout de go à sa proposition, c’est-à-dire réhabiliter un cinéaste quasi oublié, particulièrement par les tenants de la Nouvelle Vague qui ne croient plus cinéma « qualité française » des années 1940 et 1950, plus incidemment mené par des adeptes collabos.Suite

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