Je t’écris au milieu d’un bel orage

CRITIQUE.
[ Scène ]

★★★★

texte
Élie Castiel

Le décor de Max-Otto Fauteux, jumelé à la proposition scénique de Maxime Carbonneau correspond à un état d’esprit créé par la plume à la fois sensible et joliment égarée de Dany Boudreault.

Un décor qui enveloppe
les personages.
Crédit : Yves Renaud.
Idem pour la photo de droite.

Les immenses rideaux verticaux, d’un blanc quasiment délavé, et qui abritent une correspondance en vidéo de quelques faits et gestes du personnage de Maria Casarès ne sont que la métaphore du temps, de l’instant, du moment qui passe et tente malgré et contre tout de se stabiliser pour l’éternité.

Interstices

affectifsSuite

La magie des impressionnistes

ÉVÈNEMENT.
[ Expérience 3D ]

CRITIQUE.

★★★ ½

texte
Élie Castiel

La formule-cabaret s’apprête à ce spectacle inusité d’une extraordinaire originalité. Faire « revivre » quelques tableaux des grands noms de l’impressionnisme. La formule est gagnante car hors du commun.

Immersif

et

conciliant

Le temps qu’il faut, en deux parties : la première survolant en temps suffisant ensemble et parfois détails de ces peintures déjà vues dans divers livres et au cinéma, sans compter les musées.

Mais le gros plan sur les artistes revendiquent leur supériorité aussi intellectuelle qu’imaginatif. Individus, à l’instar du commun des mortels, mais dégageant un œil averti, un imaginaire survolté, souvent serein, maniant le pinceau avec un souci aussi généreux que rebelle. Ou au contraire, savourant le moment ou procédant d’un geste complice.

La Grande Jatte, de Seurat

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