Counter Offence
CRITIQUE
Scène
texte
Élie Castiel
★★★ ½
En 1995, lorsque la pièce est présentée pour la première fois, les choses sont différentes – le racisme ordinaire se fait sentir de façon plus ou moins palpable au sein des pouvoirs publics. Avec les années, les nouvelles technologies, une génération montante s’abreuve des libertés qu’offrent les réseaux sociaux en matière de résistance et de lutte.
En 2020, la reprise de Counter Offence paraît encore plus essentielle, migrants, injustices et autres maladresses dues à un racisme enraciné et, dans quelques cas, inconscients (ou l’est-ce vraiment?) – les cas Kanata et Slāv en sont des exemples édifiants.