Tu me manques

P R I M E U R
Numérique

Sortie
Mercredi 04 mai 2021

SUCCINCTEMENT
Après le suicide de son fils Gabriel, Jorge se rend de la Bolivie à New York pour confronter Sebastián, l’ami de cœur de Gabriel, qu’il tient responsable de cette tragédie.

CRITIQUE.
[ Sphères LGBT ]

texte
Élie Castiel

★★★

Quelques courts, quelques longs métrages pour Rodrigo Bellot, réalisateur colombien, pouvant s’estimer chanceux de tourner des films à thématique gaie dans une cinématographie nationale plutôt restreinte. Mais la tentative n’a d’égale que la détermination de quelqu’un qui persiste et signe, ne baissant jamais les bras.

À moins de faire fausse route, c’est notre première incursion, au Québec, dans l’univers de Bellot. Une personnalité à part dans la mouvance du cinéma LGBT, dans son ensemble, destiné au circuit festivalier, situé dans le cercle des intimes et, bien entendu, propre à la communauté gaie. Mais son film, en Bolivie, est sorti dans le circuit commercial.Suite

Red Sky Performance

DANSE
[ En ligne ]
Première
Mercredi 09 avril 2021

CRITIQUE.

texte
Élie Castiel

★★★★

C’est par le biais de la danse que la compagnie Red Sky, de Toronto, exprime ses revendications sociales.  De la part de Sandra Laronde, fondatrice et directrice artistique de la troupe, créée il y a vingt ans, on retient parfaitement bien la stratégie employée pour que son projet puisse survivre dans le réel immédiat.

Alliant traditions folkloriques et danse contemporaine, elle juxtapose les deux formes en un tout harmonisé, selon le goût du jour, au diapason d’une époque où les mélanges n’ont pas seulement droit de cité, mais encouragés, même si parfois, discrètement et inutilement contestés.

© Marc J. Chalifoux

Revendiquer

les territoires

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chorégraphique

autochtoneSuite

Luz

P R I M E U R
Numérique

Sortie
Mardi 06 avril 2021

SUCCINCTEMENT
La liaison amoureuse entamée en prison entre Carlos et Ruben, pourra-t-elle survivre à l’extérieur?

CRITIQUE.
[ Sphères LGBT ]

texte
Élie Castiel

★★★ ½

Les histoires d’amour, quelle que soit l’orientation sexuelle des personnes impliquées, finissent bien en général. Ou c’est selon l’idée qu’on se fait dans la plupart des cas. Et lorsque le cinéma LGBT se prononce sur la question, force est de souligner que nonobstant les préjugés, le courant passe comme par enchantement pour la simple raison que ça situe le récit dans le lieu de tous les possibles. Ajoutons aussi que des récits pareils parfois nous confrontent à la réalité d’un 21e siècle qui tarde à mûrir en ce qui a trait aux choses de l’amour, sentiment victime d’un individualisme collectif qui ne cesse de brouiller les pistes de l’âme. Peut-on aimer?

Carlos y RubenSuite

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