RÉSUMÉ SUCCINCT Dans un village côtier isolé, le criminel impitoyable Ranatunga sème la terreur parmi les habitants. Un voyageur énigmatique décide de prendre les choses en main et, armé de vérité et de justice, se lance dans une confrontation finale.
RÉSUMÉ SUCCINCT Essai en trois chapitres, prologue et épilogue sur l’emprise de la cybernétique dans notre vie.
Selon un certain ordre de la pensée.
B R E F S APERÇUS
| Pour signaler l’importance de la nature, la plupart des intervenants sont filmés dans un environnement végétal dans la première partie ;
| Puis ils sont captés dans un milieu urbain ou à l’intérieur alternant avec des plans de drone pour expliquer la circulation des données et des séquences tournées en forêt ;
| Cette cinématographie et l’ajout d’archives dans un montage précis du cinéaste, auteur complet de ce film, assoient donc les propos des personnes-ressource dont certaines comme le chef Paulette auraient pu avoir plus de voix au chapitre ;
| L’implication citoyenne dans diverses actions incarne d’une autre manière les discours instructifs sur l’importance du lien entre nature et culture ;
| Pour continuer de suivre le travail du réalisateur de Fondations sur la transmission.
[ LC ] Cote : ★★★
FICHE TECHNIQUE PARTIELLE Réalisation Olivier D. Asselin
Scénario : Olivier D. Asselin. Direction photo : Olivier D. Asselin. Montage : Olivier D. Asselin Montage sonore : Patrice LeBlanc.
Genre(s) Essai documentaire Origine(s) Canada [Québec] Année : 2025 – Durée : 1 h 18 min Langue(s) V.o. : français; s.-t.a. La pensée-machine
RÉSUMÉ SUCCINCT Dans une petite ville, une mère excentrique et délinquante se brûle à ignorer les règles. Écrasée par ses erreurs et par la société qui ne fait pas de cadeau aux gens comme elle, elle va tout faire pour prouver à ses enfants, et à elle-même, qu’elle est quelqu’un de bien.
Droit devant, tout en se demandant…
B R E F S APERÇUS
| Elle ment tout le temps, irrite plus ou moins les siens et surtout les autres, se conduit mal, mais elle tient à s’occuper de ses trois enfants, la jeune fille et les deux gamins, tous impeccables ;
| Justement, Ophelia Kolb (Jule) défend son rôle en retenant toutes les nuances de son personnage, entre une personne adepte à faire constamment les 400 coups pour en soutirer le plus possible et du coup, sans qu’on s’y attende, s’attendrir comme mère de famille, devenue monoparentale. Lorsqu’elle verse un semblant de larme à un moment donné, à peine perceptible, nous sommes tout de même émus ;
| Un premier long pour Jasmin Gordon, réalisatrice au sens de l’observation subtil, mais plus que tout, admiratrice de ces personnages considérés comme marginaux, et dont les actions peur recommandées par nos sociétés, ne sont en fin de compte qu’une réaction consciente ou inconsciente (qu’importe) aux injustices sociales ;
| C’est un film désespéré, désespérant, les personnages s’inscrivant dans une réalité sans issues de normalité, même provisoire. Un film qui ne cesse de plonger dans l’inconnu, en état continu d’alerte. D’où cette finale en forme de plan suspendu qui permet aux spectacteurs de tirer ses propres conclusions.
[ ÉC ] Cote : ★★★
FICHE TECHNIQUE PARTIELLE Réalisation Jasmin Gordon
Scénario : Jasmin Gordon, Julien Bouissoux. Direction photo : Andi Widmer. Montage : Jan Mühlethaler. Musique : Mirjam Skal.
Genre(s) Drame Origine(s) Suisse Année : 2023-24 – Durée : 1 h 23 min Langue(s) V.o. : français Les courageux
Jasmin Gordon
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