Derniers articles

Ennio Morricone [ Deuxième partie ]

La furia dell’arte!

Un texte de
Mario Patry

La signature Morriconienne est rapidement devenue synonyme de « label de qualité » au fil des années et le compositeur n’a pas hésité à encourager de nombreux jeunes réalisateurs débutants, comme il n’a jamais reculé devant le péril de se confronter au cinéma engagé des années 1970. Son talent, son acharnement à prendre des risques lui valurent la renommée internationale que l’on lui connaît aujourd’hui avec une avalanche de prix et de récompenses de toutes sortes et de toutes parts, qu’il serait fastidieux d’énumérer ici, même dans le cadre élargi d’un dossier de fonds, mais il souligne le sens et les convictions profondes du compositeur, la valeur et la signification de son travail dans la société dans laquelle il évolua.Suite

La menthe et le cumin

PHOTO : @ Louise Savoie

RECENSION
[ Récit ]

Un texte de
Élie Castiel

★★★ ½

La photo en couverture, tirée des archives familiales de l’auteure, évoque le Maroc d’une époque révolue, du temps du Protectorat, français ou espagnol. Bien que située dans le Nord du Maroc, la ville d’Oujda, lieu de naissance des parents de Pascale Navarro, était, à l’époque, sous administration française; mais on pouvait pratiquer les autres langues, l’insulaire (l’arabe) et l’espagnol, pour les quelques ressortissants. Important de mentionner que dans le Nord-Ouest du Maroc, c’était le gouvernent espagnol qui régnait, à partir de la petite localité d’Alcazarquivir (Ksar El Kébir), jusqu’à Tétouan, là où l’espagnol tenait lieu, en plus de l’arabe, de langue officieuse. On l’appelait, la zona española. Pour les curieux, c’est là où je suis né, d’où ma connaissance de la langue de Cervantes qui ne m’a guère empêché d’en apprendre d’autres.Suite

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